Histoire
du livre médiéval
.
responsables
.
Xavier Hermand
et Ezio Ornato
Participants
membres du LAMOP : Carla Bozzolo ; Paola Busonero ; Emilie Cottereau
; Luciana Devoti ; Kouky Fianu ; Laurent Garrigues; Jean-Philippe Genet ; Isabelle Guyot Bachy ; Xavier Hermand ; Bruno Laurioux
; Marilena Maniaci ; Élisabeth Mornet ; Ezio Ornato ; Gilbert Ouy
; Yann Potin ; Isabelle Ragnard ; Darwin Smith ; Antonella Tomiello.
Partenariats
extérieurs (= cosignatures ou coparticipation aux programmes)
:
Paul Bertrand
(Institut de recherche et d'histoire des textes, Orléans) ; (Paul
Canart (Biblioteca Apostolica Vaticana) ; Maria Antonietta Casagrande Mazzoli
(Université d'Udine) ; J. Laidlaw (Université de 0000) ;
Hélène Loyau (Institut de recherche et d'histoire des textes,
Paris) ; Paola F. Munafò (Istituto centrale per la patologia del
libro, Roma) ; Denis Muzerelle (Institut de recherche et d'histoire des
textes, Paris) ; Christine Reno (Vassar College) ; M. Speranza Storace
(Istituto centrale per la patologia del libro, Roma) ; Stefano Zamponi
(Université de Florence)
Partenariats
institutionnels :Istituto centrale per la Patologia del libro - Rome Université
de Cassino Economie et Société.
PRÉSENTATION
DE L'AXE
Cet
axe de recherche est consacré à l'étude du livre,
considéré à la fois comme un objet physique, comme
le produit commercial d'une activité artisanale ou proto-industrielle
et, cela va de soi, comme la concrétisation d'un objectif culturel
dont il constitue le support indispensable. Si les recherches que nous
avons développées jusqu'à présent portent essentiellement
sur l'Occident médiéval, rien n'empêche (et c'est même
souhaitable) qu'elles s'étendent en amont et en aval, depuis l'Antiquité
tardive jusqu'au début de l'Âge moderne, ainsi qu'à
toutes les aires linguistiques et culturelles. C'est d'ailleurs ce qui
se produit déjà pour le monde byzantin.
Pourquoi
l'histoire du livre médiéval fait-elle l'objet d'un axe pécifique
? Ce parti pris mérite quelques explications. Il découle,
essentiellement, d'une réaction nécessaire au statut de subordination
dont l'étude de l'objet matériel et, bien qu'en moindre mesure,
celle de l'écriture qui en recouvre les pages, ont souffert pendant
longtemps. En effet, ces disciplines ont été trop souvent
orientées au service d'objectifs scientifiques extérieurs
au monde du livre et, aujourd'hui encore, elles sont considérées
presque partout " notamment dans les Universités de la plupart des
pays " comme une branche parmi d'autres de ce qu'on appelle les « sciences
auxiliaires de l'histoire ». Cette distorsion n'est pas inexplicable :
ce que l'on demande à un livre, c'est avant tout (et pour ainsi
dire « spontanément «) son âge et son origine, car dater et
localiser l'objet signifie dater et localiser le texte, l'écriture
et les images qu'il contient. Aussi, l'observation de l'objet-livre est-elle
fréquemment orientée par les intérêts de l'expertise
: se fiant à ses souvenirs et à son flair, l'»expert « s'efforce,
bien souvent sur demande, de dater et de localiser les manuscrits. Ce travail
d'attribution ne peut en fait s'appuyer, dans la plupart des cas, que sur
les éléments graphiques et décoratifs. Les caractéristiques
matérielles de l'objet, étant beaucoup plus stables dans
le temps et dans l'espace, sont d'un faible secours, et cela explique pourquoi
elles ont été systématiquement négligées
jusqu'à une époque récente.
Lorsqu'elle
n'est pas circonscrite au domaine de l'expertise, l'observation de l'objet
est la première étape d'un travail de reconstitution d'événements
relatifs à la production et à la diffusion de la culture
écrite. Combinée le cas échéant avec l'exploitation
de sources littéraires ou documentaires, elle permet de retracer
l'activité de tel ou tel auteur, scriptorium
ou atelier typographique,
ou encore de rassembler les éléments dispersés d'une
collection médiévale. Il s'agit cependant, dans cette perspective,
non pas d'observer et de décrire systématiquement toutes
les caractéristiques matérielles de l'objet, mais d'exercer
sa sagacité en sélectionnant les moins anodines et les plus
spécifiques d'entre elles ; celles précisément, qui
sont assimilables à des indices et qui permettent ainsi d'associer
le volume examiné à d'autres dont il partage l'origine et/ou
l'histoire.
Ces
deux approches traditionnelles recouvraient à elles seules, jusqu'à
une époque récente, le vaste territoire de l'étude
du livre médiéval. Cependant, ce serait un véritable
appauvrissement que de s'en contenter, car elles ne débouchent pas
sur une véritable histoire du livre, si l'on entend par ce
terme autre chose qu'un simple enchaînement d'événements.
En effet, dans la mesure où elle est enfermée dans
l'horizon limité de l'expertise, l'observation de l'objet ne saurait
être que le support d'une histoire à travers les livres
;
par ailleurs, lorsqu'elle se propose de découvrir des faits saillants
ou de reconstituer des réseaux d'influence, elle produit essentiellement
des histoires de livres sous forme monographique (dont il ne faut
évidemment pas sous-estimer l'intérêt et l'impact pour
l'histoire de la culture écrite) et même, à la limite,
compte tenu des « étanchéités » existantes, des histoires
de parties de livres (texte, images, écriture et décoration,
reliure).Plus récemment, dans le milieu de la conservation et de
la restauration, s'est développée une démarche nouvelle
" » l'archéologie du livre »" dont le pilier est précisément
l'observation minutieuse et systématique de l'objet. Ce dernier
est littéralement « disséqué » dans toutes ses composantes,
voire analysé, au sens propre du terme, jusque dans ses propriétés
physico-chimiques invisibles à l'eil nu. Dans ce nouveau contexte,
l'observation des caractéristiques matérielles n'est pas
subordonnée à des finalités extérieures : si
l'on s'efforce de reconstituer la structure intrinsèque des matériaux
et les techniques de fabrication, c'est parce que mieux connaître
le livre signifie mieux le conserver et en préserver les propriétés
originelles. Il s'agit, on le voit, d'une véritable révolution,
car elle se place résolument en porte-à-faux par rapport
aux pratiques, hélas encore quotidiennes, de restauration « invasive
». Cependant, cette perspective strictement cognitive comporte un danger
: celui de rester confiné à l'intérieur de l'objet
et de reléguer à l'arrière-plan toute préoccupation
d'ordre historique.
Au
début des années 80, grâce à une évolution
« spontanée » facilitée par l'essor des techniques informatiques,
a pris graduellement corps une approche radicalement différente,
que l'on pourrait qualifier de « sociologique » et qui, pour cette raison,
fait largement appel aux méthodes quantitatives et à l'outil
statistique. Bien qu'elle privilégie l'observation archéologique
(vu l'absence de transmission écrite pour les « règles de
l'art » à l'époque médiévale et la pénurie
de documents d'archives), cette approche « sociologique » ne se laisse
pas enfermer dans l'univers étriqué de l'objet, car l'analyse
des aspects matériels du livre ne doit pas se borner à la
reconstitution de ses modalités de fabrication. Tout ce que l'on
observe dans un livre " et l'on peut y observer énormément
de choses " reflète en fait, d'une manière plus ou moins
directe et évidente, un environnement que l'on ne voit pas et qui,
dans un balancement continuel d'impulsions, de contraintes et de résistances,
a dicté dialectiquement ses lois en aboutissant, sur le plan matériel,
à tel ou tel type de compromis. Que l'on songe, entre autre, à
la contradiction qui oppose la quantité de texte à transcrire
à la surface limitée de la page ; le souci de lisibilité
au temps disponible pour la copie ; la qualité du produit à
la pénurie de moyens financiers et, bien sûr, la faible productivité
des techniques de reproduction aux impératifs de diffusion.
Cette
démarche historique vise donc à comprendre comment et pourquoi
le monde du livre, et in primis l'objet qui en est le reflet, ont
continuellement évolué pour s'adapter à l'imprévisibilité
des initiatives culturelles et à la mobilité des points d'équilibre
entre les divers facteurs, souvent conflictuels, qui tendent à imposer
leurs contraintes. Ce point de vue présuppose (et il s'agit moins
d'une déclaration d'intention que d'une véritable nécessité
scientifique) que l'on prenne simultanément en considération
tous les aspects " fabrication, production et diffusion, utilisation "
en dehors de tout a priori hiérarchique, et que l'on interroge
systématiquement toutes les sources disponibles. Vue sous cet angle,
l'histoire du livre coïncide donc avec celle de l'interaction entre
l'objet et l'environnement qui l'a produit ; environnement culturel certes,
mais aussi technologique, économique, social et humain.Il s'agit
en somme d'une histoire globale, dont le but est de comprendre comment
le monde du livre, défini comme l'ensemble formé par l'objet,
ses producteurs et ses consommateurs, fonctionne (on pourrait dire, comme
les sociologues, « se comporte «), et surtout pourquoi il fonctionne ainsi,
entre le marteau de l'innovation et l'enclume de la tradition.
Compte
tenu de l'intérêt que l'on porte aux aspects fonctionnels,
il s'agit aussi d'une histoire unitaire. En effet, tous les facteurs
complexes et contradictoires qui pèsent sur le livre doivent malgré
tout respecter sa fonction fondamentale. Or, quelles que soient les formes
prises en divers temps et en divers lieux par l'objet, sa fonction " à
savoir la transmission correcte d'un message lisible " n'a jamais varié,
et c'est cela qui permet de mettre en oeuvre des études comparatives
de populations de livres, portant simultanément sur plusieurs
époques et plusieurs aires culturelles. C'est aussi cela, notamment,
qui permet d'étudier ensemble, indépendamment de l'abîme
technologique qui les sépare, le manuscrit et l'imprimé.
Il
s'agit enfin d'une histoire nécessairement ouverte, car toutes
les caractéristiques de l'objet matériel renvoient à
la réalité environnante et tous les aspects de cette réalité
sont de fait indissociables : ainsi, l'étude de l'objet ne saurait
être artificiellement séparée de celle du matériau
qui en constitue le support ; du texte qu'il contient, écrit et
mis en forme par des lettrés ; des entrepreneurs qui l'ont conçu
; des artisans qui l'ont concrètement fabriqué ; des libraires
qui l'ont diffusé ; des lecteurs qui l'ont utilisé et des
bibliothécaires qui l'ont conservé.
C'est
uniquement si elle est replacée dans ce cadre « sociologique » que
l'histoire du livre peut préciser sa physionomie et acquérir
un statut » d'axe de recherche « à part entière. Toutefois,
il serait stérilisant de prétendre " ou de craindre " que
ce type d'approche ait un jour vocation à devenir hégémonique.
Ce qui caractérise la démarche que l'on appelle couramment
et improprement codicologie quantitative, ce sont moins les méthodes
que les motivations profondes et les objectifs qui déterminent la
nécessité d'y recourir. En fait, les problématiques
qu'elle aborde sont précisément celles que l'approche déductive
traditionnelle a toujours négligées. Il n'est donc nullement
question d'incompatibilité, ni de concurrence, mais plutôt
de complémentarité. C'est dans cet esprit que ce rapport
a été établi : on trouvera donc côte à
côte, sans aucun parti pris hiérarchique, le compte rendu
de toutes les recherches accomplies au sein de notre Unité qui ont
trait au livre médiéval, quels qu'en soient les principes
méthodologiques inspirateurs et quel que soit le statut de ce dernier
: point de départ ou point d'aboutissement.
S'appuyant
sur un a priori épistémologique qui refuse de négliger
les aspects « mécaniques » au sens médiéval du terme
(l'objet) et économiques (l'argent) au profit des aspects « nobles
et spirituels » du livre (le texte, l'écriture et les images), mais
qui n'oublie pas en même temps que les finalités culturelles
priment nécessairement en dernier ressort, les recherches ici présentées
s'efforcent de prendre en compte tous les aspects du véhicule de
transmission de la culture écrite, de la fabrication des supports
au démembrement des collections médiévales, voire
à la détérioration progressive et à la destruction
définitive des volumes. Il est néanmoins évident qu'une
systématisation s'impose ; aussi, tout en ne perdant pas de vue
qu'un certain nombre d'opérations recoupent deux ou plusieurs thématiques,
peut-on envisager de dresser le bilan scientifique et planifier les perspectives
de l'axe « histoire du livre médiéval » en fonction de trois
orientations principales dont on explicitera les détails :
I.
Histoire du papier occidental à la fin du Moyen Âge et aux
début de l'Âge moderne
II.
Structure matérielle, présentation de la page et techniques
d'écriture dans le livre médiéval
III.
La transmission et la diffusion de la culture écrite : livres, lecteurs,
société
Activité de recherche..1997-2000
Sous-axe
A " Histoire du papier occidental à la
fin du Moyen Âge et aux débuts de l'Âge moderne (resp.
: E. Ornato)
1.Le
papier occidental au Moyen Âge tardif(Progetto carta,
programme
patronné par l'Istituto centrale per la patologia del libro : E.
Ornato, P. Busonero; partenariat : P. F. Munafò, M. S. Storace;
cf. Publications)
Sous-axe
B " Structure matérielle, présentation
de la page et techniques d'écriture dans le livre médiéval
(resp. : M. Maniaci)
1.Aspects
matériels et techniques de fabrication dans le livre médiéval
...a)
Aspects qualitatifs du parchemin dans le manuscritbyzantin
(M. Maniaci ; cf. Publications)
...b)
Subdivision
de la peau de parchemin et formation des bifeuillets dans lemanuscrit byzantin
(M.
Maniaci ; cf.
Publications)
...c)
La
structure des cahiers dans les manuscrits de l'Antiquité tardive
au bas Moyen Âge
(P. Busonero, E. Ornato ; cf. Publications)
...d)
Les procédés d'» imposition « dans les manuscrits occidentaux
du Bas Moyen Âge
(C. Bozzolo)
...e)
Techniques de fabrication et pratiques de composition dans l'incunable
(L.
Garrigues ; E. Ornato ; cf. Colloques, septembre 1997)
2.La
page écrite dans le manuscrit médiéval : mise en page,
gestion de l'espace, aspects graphiques et périgraphiques
...a)
Livre manuscrit et document d'archives : une approche codicologique comparative
(X. Hermand ; partenariat : P. Bertrand [irht, Orléans] ; cf. Publications)
...b)
La mise en page dans le manuscrit byzantin (M.
Maniaci)
...c)
La copie des manuscrits en France aux XIVe et XVe
siècles (E.
Cottereau ; thèse de doctorat sous la direction de C. Gauvard ;
cf. Colloques, juillet 2000)
...d)
Interaction entre texte et glose dans l'édition commentée
(P. Busonero, L. Devoti, M. Maniaci, E. Ornato, A. Tomiello ; partenariat
: J.-H. Sautel (irht, Orléans) ; cf. Publications)
...e)
La transition de l'écriture caroline à la « gothique »
(A. Tomiello ; cf. Publications ; dea de la Scuola di specializzazioneper
la conservazione dei beni archivistici e librari)
...f)
« A lire ou à regarder » ? Richesse et lisibilité dans les
manuscrits des traductions françaises de Boccace
(E. Cottereau ; cf. Publications ; maîtrise sous la direction
de C. Gauvard)
3.Recherches
sur des corpus et des typologies particulières, études monographiques
...a)
Les manuscrits de la Bible, ou « comment le Livre s'est fait livre » (M.
Maniaci, E. Ornato ; partenariat : D. Muzerelle [irht])
......i)
Les
manuscrits de la Bible et la catalographie moderne
(M. Maniaci, E. Ornato ; partenariat : D. Muzerelle [irht] ; cf. Publications)
......ii)
La structure matérielle des Bibles dites « atlantiques »
(M. Maniaci ; cf. Publications)
...b)
Livre « gothique » et livre « humaniste » dans l'Italie du XIVeet
du XVe siècle
(E. Ornato ; partenariat : M. A. Casagrande Mazzoli ; cf. Publications
;
Colloques, San Gimignano, juin 1999)
...c)
Codicologie des manuscrits d'euvres de théâtre (D.
Smith ; cf. Publications)
...d)
Aspects codicologiques des manuscrits de musique profane (XVe
siècle) (I.
Ragnard)
...e)
Naissance d'une gastronomie : cuisine, littérature et médecine
à la fin du Moyen Âge
(B. Laurioux)
...f)
Les manuscrits de textes historiographiques en France du Nord
(I. Guyot-Bachy)
Sous-axe
C " La transmission et la diffusion de la culture
écrite : livres, lecteurs, société (C. Bozzolo,
X. Hermand)
1.Aspects
méthodologiques : l'exploitation quantitative des inventaires médiévaux
(C. Bozzolo, E. Ornato ; cf. Colloques, mars 1997)
2.
Les
métiers du livre à Paris du XIIIe au XVIe
siècle (K. Fianu)
3.Livres
et lecteurs dans l'Europe médiévale
...a)
La transition du manuscrit à l'imprimé en France du Nord
et dans les anciens Pays-Bas
(X. Hermand)
...b)
« Impression vénitiennes » : une étude quantitative de la
production d'incunables à Venise (E.
Ornato)
...c)
Les
bibliothèques anglaises à la fin du Moyen Âge
(J.-Ph. Genet)
...d)
Pré-Réforme et pratiques culturelles : livres, bibliothèques
et archives dans les maisons religieuses de Belgique et de la France du
Nord (diocèses de Liège, de Cambrai et de Tournai) à
la fin du Moyen Âge
(X. Hermand)
......i.
Les
bibliothèques ecclésiastiques et leurs livres dans le Namurois
entre ca. 1350 et 1530 (X.
Hermand, thèse de Doctorat [Université catholique de Louvain,
à Louvain-la-Neuve, sous la direction de R. Noël et de G. Philippart]
; cf. Publications)
.....ii.
Les réseaux monastiques et la circulation des livres (X.
Hermand)
...e)
Les bibliothèques ecclésiastiques en Scandinavie (E.
Mornet)
...f)
La
diffusion des manuscrits avec commentaire dans quelques aires européennes
(C. Bozzolo ; cf. Publications)
4.
Bibliothèques parisiennes
...a)
Le catalogue de la bibliothèque de Saint-Victor(G.
Ouy ; cf. Publications)
...b)
La bibliothèque médiévale du Louvre (Y.
Potin ; cf. Publications)
5.Manuscrits
et bibliothèques d'auteur
...a)
Catalogue des manuscrits autographes et originaux de Christine de Pizan
(G.
Ouy ; partenariat : J. Laidlaw, C. Reno)
...b)
Les manuscrits de Charles d'Orléans et de Jean d'Angoulême
(G.
Ouy)
...c)
Jean Lebègue (1368-1457), auteur, copiste et bibliophile (G.
Ouy ; cf. Colloques, Weingarten, septembre 2000)
En
Annexe :LES ACTIVITES DE FORMATION
BIBLIOGRAPHIE
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Le commentaire entre tradition et innovation (Paris-Villejuif, 22-25 septembre
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ZAMPONI, S.
- PANTAROTTO, M. - TOMIELLO, A. " Stratigrafia dello zibaldone e della
miscellanea laurenziani ", dans Gli Zibaldoni di Boccaccio. Memoria,
scrittura, riscrittura,éd. par M. PICONE et C. CAZALE BERARD,
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